Sarajevo Sniper la mort au bout du Fusil Un Reportage de 26′ de Philippe Buffon
# Les tireurs embusqués de Sarajevo : des combattants de tous horizons
## La terreur des tireurs embusqués à Sarajevo
Dans tous les quartiers de la ville, les tireurs embusqués font régner la peur parmi les Serbes et Bosniaques. De loin, à une centaine de mètres de l’hôtel en plein centre-ville, une tour d’une trentaine d’étages abrite des snipers embusqués qui prennent pour cible tout ce qui bouge.
## La vie au quartier général des francs-tireurs
Après une approche difficile, un journaliste parvient à rencontrer les combattants bosniaques qui lui révèlent les dangers du chemin à prendre pour se déplacer d’un abri à l’autre. Au quartier général des francs-tireurs, une vingtaine de combattants s’organisent pour défendre la ville contre l’ennemi.
## Goran, un tireur embusqué en quête de paix
Au cœur de la tour de Gobavica, Goran, un combattant bosniaque, se confie sur sa vie de sniper. Malgré son engagement, il rêve de paix et de finir ses études une fois la guerre terminée. La vie dans cette tour, devenue un ghetto, est difficile et pleine de dangers.
## La jeunesse des combattants de Sarajevo
En parcourant les rues de Sarajevo, on découvre la jeunesse des combattants, contraints de vivre dans des conditions extrêmes pour défendre leur ville. La lutte pour le contrôle des routes stratégiques est rude, et chaque jour est un défi pour ces hommes et femmes courageux.
## Le quotidien sous les tirs des snipers
Malgré les risques et la violence qui les entourent, les habitants de Sarajevo continuent de vivre sous le feu des snipers. Chaque jour, le convoi de l’ONU apporte un peu de répit avec des vivres et des médicaments, mais la peur et l’incertitude règnent en maîtres.
En définitive, la guerre à Sarajevo est un combat de tous les instants, où la vie et la mort se côtoient à chaque coin de rue. Les tireurs embusqués, symboles de cette violence insensée, marquent la ville de leur empreinte indélébile, mais la résilience et le courage des habitants restent plus forts que tout.
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