50 Cent – Many Men (Wish Death)
# 50 Cent – Many Men (Wish Death)
## Deux hommes de Jamaica, Queens
Nous avons tous les deux grandi dans les rues difficiles de Jamaica, Queens, deux enfants des rues, devenus des hommes. C’est triste que cela se termine ainsi. Mais avant d’entrer dans les détails, revenons au début.
## Préparation pour l’action
Nous sommes prêts à en découdre avec ce clown. Prêts à en finir. Es-tu prêt pour ça, fils ? Tu es fou ? Je suis prêt à régler son compte, fils. S’il te plaît, aide-moi à traverser la rue. Es-tu prêt ? Je suis prêt ! Je suis prêt ! Laisse-moi traverser la rue. Allons-y, allons-y.
## La tragédie
Le bruit d’une voiture qui dérape et s’arrête brusquement. Puis un coup de feu. La musique rythmée commence, et les paroles percutantes de « Many Men » résonnent.
## La lutte pour la survie
Beaucoup d’hommes souhaitent ma mort. Du sang dans les yeux, et je ne peux pas voir. J’essaie d’être ce que je suis destiné à être, et des gens essaient de me prendre ma vie. J’ai mis une balle dans celui qui a tenté de m’attaquer. Mon dos contre le mur, maintenant tu vas voir. Fais attention à ce que tu dis quand tu parles de moi. Parce que je viendrai et je prendrai ta vie.
## La résilience
De nombreux hommes souhaitent ma mort. Je ne pleure plus. Je ne regarde plus le ciel. Aie pitié de moi. Mets une prime sur ma tête, mais tu n’auras pas de remboursement, je ne suis pas mort. Je suis le diamant dans la saleté qui n’a pas encore été découvert. Je suis le roi de l’ombre, qui n’a pas encore été couronné. Chaque fois que je rappe, quelque chose de spécial se produit. Quelque chose comme Ali à son apogée.
## Conclusion
Les journées ensoleillées ne seraient pas spéciales sans la pluie. La joie ne serait pas aussi bonne sans la douleur. La mort doit être facile, cette vie est difficile. Elle vous laissera marqué physiquement, mentalement et émotionnellement. C’est pour mes gars du quartier, qui fument des cigares. Pour ceux qui purgent une peine derrière les barreaux. Je ne vois pas, seul Dieu peut me juger car je vois les choses clairement.
Chaque nuit, je parle à Dieu, mais il ne me répond pas. Je sais qu’il me protège, mais je garde toujours mon arme dans mes cauchemars. Certains disent qu’une malédiction a été jetée sur moi. Les fédéraux ne savaient pas grand-chose quand Pac s’est fait tirer dessus. Maintenant, il est clair que je suis ici pour une vraie raison. Beaucoup d’hommes souhaitent ma mort, mais je ne pleure plus. J’ai pitié de beaucoup d’hommes.
La musique continue à résonner, rappelant la dure réalité de la vie dans les rues de Jamaica, Queens. Deux hommes qui ont dû lutter pour leur survie, confrontés à la mort et à la trahison. La rue ne pardonne pas, mais ces hommes restent debout malgré les épreuves.
source