SenzaFrancobollo 25 Vivian Maier e la fisica quantistica

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# La rencontre entre Vivian Maier et la physique quantique

## Un lien inattendu entre la photographie et la science

Bienvenue à tous Senza francollo #24 en version classique sur Substack, audio et aussi vidéo sur Youtube@robertocarlone. J’ai senti, j’ai senti qu’il se passait quelque chose, une idée, quelque chose qui était sur le point d’exploser ou de se figer. J’y ai consacré beaucoup, ce fut sept jours intenses et exigeants. Et puis petit à petit l’écriture, l’écoute, la documentation j’y suis arrivé. Et, vous savez, quand quelque chose devient fort et clair, alors vous pouvez aussi perdre votre concentration, vous n’avez plus besoin de retenir votre esprit et votre respiration parce que vous sentez que vous êtes à un pas. Maintenant, je peux tout faire. Je comprends, je peux perdre la concentration parce que je l’ai très clairement. En écrivant j’en suis venu à la conclusion, je l’ai bien compris, il est présent et je pense qu’il le restera longtemps. Clair et précis. Je suis arrivé. Merci à la science, aux scientifiques et à ceux qui nous les ont expliqués. La physique quantique arrive et en confondant, en brisant les certitudes et les compréhensions, elle clarifie. Il y a eu trois rencontres avec Vivian Maier cette semaine : un article posté par Cristiano Luchini sur la page de « Photographie et Psychologie » intitulé « La photographie de Vivian Maier : proximité des sujets et enchevêtrement », deux vidéos qui niaient l’existence de Vivian Maier et, enfin, arrivé au dernier, une autre vidéo du grand Alessio Bottiroli de Sur la nature de la lumière « J’ai ouvert Onlyfans et ma vie a changé ». De là a commencé un voyage d’une semaine de recherches approfondies, de vidéos, d’articles. J’ai approfondi l’intuition qu’il y avait un lien entre le grand photographe et la physique quantique. Je me suis demandé qu’est-ce qu’ils ont à voir les uns avec les autres? Quelle est la relation? Qu’est-ce qui les lie ? Et où cette recherche va-t-elle me mener ?

## La superposition des états et l’entrelacement maiérien

La physique quantique est tellement compliquée et cela va à l’encontre de notre expérience, qui nous dit tout le contraire de ce dont nous sommes convaincus. C’est ainsi que ce petit défi a commencé. J’ai trouvé une voie un peu plus scientifique, du moins certainement plus consciente, dans mes recherches sur Vivian Maier. Avec cette vision, ces raisonnements, je sens que quelque chose peut être ajouté à la subjectivité ou à cette sentimentalité romantique de l’interprétation qui entoure toujours la plupart des commentaires sur Maier. Dont moi non plus je n’ai pas été à l’abri. Et nous l’appelons le lien sentimental. La superposition des états, l’enchevêtrement maiérien. Le résultat? La science semble rencontrer la photographie en la personne de Vivian Maier. En explorant le concept de superposition d’états en physique quantique, qui soutient que la réalité est une combinaison de multiples possibilités jusqu’à ce qu’elle soit observée ou mesurée, nous prenons conscience de certaines similitudes. L’exemple du chat de Schrödinger qui s’est enfermé dans une boîte peut être mort ou vivant jusqu’à ce que nous l’ouvrions, sachant ainsi quelle sera la réponse. Avec le postulat fascinant qu’elle conduira à la simultanéité de deux états, chat vivant ou chat mort, nous ouvrons une porte sur l’analyse de Maier. Vivian Maier, quand personne ne la regarde, elle n’existe pas ou plutôt elle peut exister ou non. Quand quelqu’un le trouve, c’est qu’il existe. Les photographies de Vivian Maier, sa vie, ressemblent à des superpositions d’états. Et la deuxième découverte est que les intrigues et les liens forts de Vivian Maier avec ses sujets peuvent être compris et expliqués grâce au principe d’entrelacement en physique quantique. Entrelacement est un mot anglais qui signifie lien, enchevêtrement, entrelacement et est l’un des trois principes de la physique quantique. C’est un terme également inventé par Erwin Schrödinger. Il indique un lien inséparable entre les particules. Il décrit les propriétés des particules comme s’il s’agissait d’un seul objet, même si les particules sont extrêmement éloignées, quelle que soit la distance qui les sépare. Deux particules liées n’ont pas deux fonctions d’onde, mais une seule. Ce qui arrive à l’un arrive aussi à l’autre, mais plus vite que la lumière. Comment la seconde particule sait-elle instantanément ce qui est arrivé à la première ? Dans la structure la plus intime de l’Univers, tout existe et est intimement lié au-delà de l’espace et du temps. Deux particules enchevêtrées n’en font qu’une. C’est comme si les particules étaient reliées par une force mystérieuse qui défie les lois de la physique classique. Tout est intimement lié (au-delà de l’espace et du temps) et la réalité ne naît que lorsque quelqu’un la regarde (avant qu’elle ne soit qu’une superposition d’états). Ce que j’en tire, en tirant les ficelles de ces discours, c’est que nous sommes là pour observer et décider. Dans une infinité d’univers. Et ça ne vous rappelle pas un peu Vivian Maier ? Ici, j’explique beaucoup de choses sur elle. Quand il trouve quelqu’un, il le rencontre c’est parce qu’il peut identifier de quel côté il se trouve, dans quel état il se trouve. Et cela devient révélateur, comme une observation scientifique. Elle permet à ce qui l’entoure de devenir une réalité. C’est ainsi que je comprends ses promenades, ses voyages et ses photos : il les a faites pour vérifier. Non seulement que tout allait bien, mais que tout était vivant. Elle se sentait appartenir à la même origine, de l’humanité, de l’univers. Ce n’était pas seulement une question d’empathie, mais quelque chose de plus grand. Il reconnaissait d’autres personnes qui se sentaient connectées à l’univers, à la même racine. Et c’est ce qui nous fait « aimer » ses photographies. Ceci localise une racine commune. Vivian Maier essaie de rester dans le monde, essaie de comprendre la vie, cette vie qui est sous le même temps, devant ses yeux. Dans un espace dont la science nous dit qu’il n’existe pas, dans un temps dont la science nous dit qu’il n’existe pas. Dans un infini c’est le vide. Et tout cela, voire bien plus, de manière plus scientifique et plus poétique, certainement plus véhémente, je l’ai mis en vidéo. Evidemment j’y ai mis beaucoup de mien et j’ai peut-être découvert des petites nouveautés qui arrivent à tout le monde, qui sont communes à tout le monde, en fait beaucoup le regardent et j’aimerais que vous aussi ne le manquiez pas. Alors prenez une demi-heure de temps et profitez-en car il y a aussi des images à l’appui. De tous ceux que j’ai fait jusqu’à présent, c’est définitivement mon préféré. Je le laisse ci-dessous. Le voilà. Pour ceux qui écoutent ou voient ce contenu en vidéo, je laisse le lien dans la description. Mardi prochain, mardi 21 à 21, pour fêter l’arrivée du printemps avec vous, je vous propose un live sur YouTube. J’hésite entre deux sujets et je vais donc faire un petit sondage pour que vous m’indiquiez dans quel sens déplacer l’aiguille de la balance. Et là aussi, pour répondre, regardez la version classique de cette newsletter, ou rendez-vous sur la page communautaire de la chaîne. Option 1 : Quel est le processus créatif que j’utilise pour créer mes vidéos ? Mécanismes, méthodes, équipements, applications. Bref, je voudrais décrocher les vidéos sur les sixties et celle sur Maier. Option 2 : Maisons d’autres personnes. Ma curiosité photographique quand j’entre chez les autres. Beaucoup de photographies et ce qui m’arrive quand j’entre dans des appartements inconnus. Vous connaîtrez le résultat mardi en direct. Je prépare une série sur les « familles » en photographie. Un épisode sur les enfants, un sur les femmes, un sur les hommes et puis le dernier sur les familles. Sans s’éloigner de 2023, c’est-à-dire en essayant d’être le plus ouvert possible grâce aux suggestions de…

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