Schoolgirls for Sale in Japan
# La culture JK au Japon : entre exploitation et fantasmes
## La réalité de la culture lycéenne
Au Japon, il y a une large tolérance à l’égard de l’exploitation sexuelle des jeunes filles, notamment à travers la culture JK (lycéenne). Les lycéennes vendent divers services, allant de la divination aux massages, sous la surveillance de hommes qui semblent être leurs patrons.
## Plongée dans l’univers des JK
Dans le quartier d’Akihabara, au centre de Tokyo, se trouve l’épicentre de la culture JK. Les lycéennes sont commercialisées pour divers services, y compris des rencontres avec des fans après les concerts. Cette culture semble attirer des hommes plus âgés, certains étant prêts à payer pour des moments privilégiés avec ces jeunes filles.
## Enquête sur l’exploitation des lycéennes
Le phénomène des jeunes filles se faisant payer pour passer du temps avec des hommes, appelé enjo kosai, a émergé dans les années 1990. Il existe un débat sur l’exploitation de ces filles, certaines étant potentiellement victimes de réseaux criminels.
## Les actions du gouvernement et de la société
La police de Tokyo a commencé à effectuer des descentes dans les magasins JK servant de façade à la prostitution, mais beaucoup estiment que ces actions ne sont que pour le spectacle. La société japonaise, jugée misogyne et sexiste, doit faire face à ces problèmes pour protéger les jeunes filles de l’exploitation.
En conclusion, la culture JK au Japon soulève des questions sur l’exploitation des jeunes filles et la responsabilité des adultes dans ce phénomène. Il est nécessaire de sensibiliser et d’éduquer pour mettre un terme à cette pratique préoccupante.
source