VENDRE ses CULOTTES 💸 + AVIS d’une fille sur les SIMPS! (Ruby Nikara et eau du bain)

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# Le trafic de sous-vêtements : une pratique moderne et controversée

## Les dessous du business des petites culottes sales

Dernièrement, une pratique très intéressante a fait surface : le trafic de sous-vêtements. De nombreuses femmes, influenceuses ou non, vendent leurs petites culottes pour des centaines d’euros, et de nombreux hommes les achètent, que ce soit pour les encadrer ou pour des raisons plus intimes. Certains vont même jusqu’à acheter l’eau de bain d’une influenceuse pour la modique somme de 1500 euros. Mais pourquoi ces femmes se lancent-elles dans ce business ? Qu’est-ce que ces petites culottes et cette eau de bain représentent réellement ?

## Les reliques des temps modernes : des idoles à vendre

En se plongeant dans le monde du trafic de sous-vêtements, on réalise que ces objets deviennent de véritables reliques pour certains acheteurs. En effet, les petites culottes et l’eau de bain vendues par ces femmes sont élevées au rang d’objets sacrés, alimentant l’imaginaire des clients et renforçant l’idéalisation de ces femmes. Cela soulève la question de l’idolâtrie et de la déesse moderne que représente l’influenceuse vendant ses reliques.

## Une pratique ancestrale revisitée : le lien entre l’odeur et l’imagination

Il est intéressant de noter que l’achat de ces petites culottes semble être basé en grande partie sur l’odeur qu’elles dégagent. En alimentant l’imagination des acheteurs, cette odeur permet de faire revivre la femme à laquelle appartiennent ces sous-vêtements, créant ainsi un lien particulier entre le client et l’influenceuse. Cette pratique n’est pas nouvelle, comme en témoigne l’histoire de Guy de Maupassant et sa nouvelle « La Chevelure », où un personnage s’attache à une chevelure trouvée dans un placard et l’encadre comme un objet précieux.

En conclusion, le trafic de sous-vêtements soulève des questions sur la nature de l’idolâtrie moderne et sur la façon dont les objets peuvent être élevés au rang d’objets sacrés par la société. Cette pratique, bien que controversée, met en lumière les liens étroits entre l’odeur, l’imagination et le désir, faisant des petites culottes sales des reliques modernes alimentant les fantasmes de ceux qui les achètent.

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