« Je peux amener beaucoup d’émotions », Amar Dedic présente son style de jeu « offensif » comme latéral



Recruté par l’OM lundi en provenance de Salzbourg, Amar Dedic (22 ans) a présenté son style de jeu à la presse ce mardi se voyant comme un latéral offensif avec la promesse de procurer des émotions.

Il est certainement, avec le Brésilien Luiz Felipe, la recrue la moins connue du mercato hivernal de l’OM. Amar Dedic (22 ans) a rejoint Marseille en prêt payant lundi en provenance de Salzbourg contre 1,5 million d’euros (avec option d’achat de 10 millions s’il joue 50% des matchs) pour renforcer la défense, dans l’axe mais surtout sur un côté. L’international bosnien (16 sélections, 1 but) en a dit un peu plus sur son style de jeu après avoir clamé sa fierté de jouer sous les ordres de Roberto De Zerbi « l’un des meilleurs entraîneurs du monde ».

« Le plus important pour moi est de jouer avec le cœur »

« Mon style de jeu est offensif dans les couloirs », a-t-il expliqué. « Je pense que je peux aider l’équipe dans son très bon style offensif. Je fais aussi de mon mieux défensivement, évidemment parce que c’est aussi très important. Je peux amener beaucoup d’émotions dans cette atmosphère. Le plus important pour moi est de jouer avec le cœur, de me battre pour le club, pour tout le monde. »

Le natif d’Autriche où il a grandi et fait ses premiers pas de footballeur professionnel explique pouvoir s’adapter à différents systèmes. « Honnêtement, j’ai joué à plusieurs postes », a-t-il expliqué. « Je jouerai là où on a besoin de moi, dans l’axe ou sur les côtés. J’ai plus souvent évolué dans le couloir. Ce que je préfère, c’est être sur le côté à droite ou à gauche, j’aime bien les deux. Peu importe où le coach me met, je me sens bien. »

Loué par Miralem Pjanic, son équipier en sélection, auprès de Medhi Benatia, directeur sportif de l’OM, Dedic a aussi pu s’entretenir avec De Zerbi avant de s’engager avec son nouveau club. Mais il n’a pas encore esquissé les contours de son utilisation. « J’ai parlé avec l’entraîneur au téléphone mais pas encore en face-à-face. Il m’a dit un peu la façon dont il me voyait jouer sur le terrain mais on verra après, une fois qu’on aura appris à se connaître. »

Nicolas Couet avec BFM Marseille



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