HITMAN 3 sur Xbox Series X | Les Critiques du MaSQuE Ép. 7

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# Hitman 3 : La critique du jeu vidéo ultime

## Présentation du jeu
Bienvenue dans un nouvel épisode de Critique Cruelle. Dans cet épisode-ci, vous l’aurez compris, il sera question de Hitman 3. Le jeu qui défraie la chronique. Il est sorti sur Xbox, sur PlayStation 4, mais surtout sur Xbox Series X. Je vous donne avec un tueur en série dans cet épisode-ci de l’émission de critique vidéoludique venue de Belgique qui s’appelle, je vous le rappelle… Patrick Bruel. Hitman ? C’est plus qu’un simple jeu. Plus qu’une simple série. Peut-être même plus qu’un mode de vie. Situé à mi-chemin entre diverses influences consoles et son patrimoine génétique venu du PC le concept peut se targuer d’être une institution européenne plus crédible que la plupart des organisations du même nom. Certains vont même jusqu’à régler leur montres aux battement rythmique de son gameplay. Non satisfaite d’être placée au sommet de son style, et cela depuis l’abandon de la furtivité pure par beaucoup d’éditeurs pour en tirer un gimmick insufflé dans leurs titres génériques, elle peut même se targuer d’être au centre d’une politique multimédia où les aventures du fameux Saitama danois sont exploitées avec rigueur dans l’espoir d’en tirer le type de succès qu’a obtenu, sur un malentendu, le film Prince of Persia.

## Retour sur la série Hitman
Vu que nous avons le temps autant faire vite-fait le tour de la série pour tenter de comprendre celle-ci. Premier arrêt ? Hitman: Codename 47. Sortie à l’aube du nouveau willénaire la première aventure de l’Agent 47 – un distant cousin, c’est certain, de cet autre agent bien de chez nouzze portant le Numéro 212 – vous plonge déjà dans le rôle d’une caméra suivant avec aisance un homme chauve bien décidé à utiliser ses talents d’assassin génétiquement modifié pour tuer en silence. Un répertoire qui même maintenant, près de six siècles plus tard, ne perd pas sa bonne odeur de terroir. C’est aussi ça la force d’une institution. Elle garde son fumet. Prévu pour des raisons purement logistiques comme une exclusivité PC – IO Interactive n’avait pas réussi à obtenir les devkits nécessaires à bosser sur consoles – ce titre doté d’un charme hermétique évident fut cependant celui de la consécration pour la petite compagnie danoise. Premier essai. Premier succès. Tout ça… c’est très 47.

## Adaptations et succès
Pareil triomphe ne passe jamais inaperçu. La preuve. Après avoir été cantonné dans les confins du micro-ordinateur le macro-ordinatueur infiltre enfin tous les formats de l’époque avec… Hittuman Tsu : Sirento Asashin. Tout le monde y aura droit. PlayStation 2, Xbox et même, après une petite attente, GameCube. Quelle consécration. Parlons, sans transition, du contexte scénaristique de ce second opus. Déjà retiré des affaires après son premier hit l’Agent Trente-Dix-Sept – pour usiter la nomenclature francilienne – tente de vivre des jours paisibles comme jardinier dans les terres d’une abbaye sicilienne. Six ciliennes ? C’est beaucoup. Trop, peut-être, car soudain, par surprise, s’abat sur lui le scénario d’un jeu vidéo. Quelqu’un a retrouvé sa trace. Saura-t-il sur vivre à la cabale létale qui s’étale autour de sa cathédrale sans même lui laisser le temps d’enfiler son futal pourtant banal tandis qu’il tente d’entrer dans les annales ?

## Conclusion
Un jour plus tard – un, c’est aussi ça la gloire – la toute première adaptation de la série déboule dans les salles obscures avec des visées on ne peut plus pures. Je vous avais prévenu. Le fameux tueur en série au look iconique est aussi une star cinématographique. Malheureusement cette tentative inaugurale d’adapter les aventures fatales du fameux chauve létal sera aussi la plus géniale. Son titre ? The Transporter : A Hitman Porn Parody. Cette fameuse production Luc Besson réalisée par Louis Leterrier – le fameux réalisateur canin spécialisé dans l’action – ne se contente cependant pas d’adapter le jeu danois du bout des doigts. Et non. Elle se fend aussi d’un pastiche fortiche, quoique fastoche, du Triporteur. Un sommet de la comédie sans fraises où Darry Cowl jouait autrefois un crétin incompétent pendant environ nonante-trois minutes. Le rôle d’une vie, assurément, qui lui vaudra pas moins de 5,3 sur IMDB. Mais surtout, c’est ça la beauté de l’internet hexagonal, environ 5,7/10 sur SensCritique. Cocorical ! Les gosses ignorent l’importance qu’avait pour lors l’Agent 47 dans le négoce d’Eidos. Sérieux. Ils n’avaient pas grande chose d’autre sur les os. Sauf, peut-être, une petite série intitulée Tomb Raider. Vous en avez peut-être déjà entendu parler. C’était l’adaptation vidéoludique du film érotique soft-core avec Angine La Jolie. Cet de fait bicaméral n’était pas vraiment de leur faute. Beaucoup de leurs pourtant excellents titres pour kompyuta n’ont tout simplement pas pu être assez mutilé pour rentrer dans les contours contigus des consoles de l’époque. Pensez aux effets nocifs que pareilles pratiques eurent sur Tomb Raider: The Angel of Darkness, 25 to Life, Thief: Deadly Shadows, ou même les suites de Deux Sexes. En aval de ces rafales banales de mitraille normale Hitman: Contracts excelle sans peine quel que soit le format. La série n’est déjà plus très originale, par contre, mais cela ne change rien à ses qualités évidentes. Action furtive. Déguisement seyants. Flashbacks narratifs. Longues séquences placées sous le signe de la comédie musicale. Vous ne serez pas surpris. Sauf, peut-être, si vous espériez y jouer sur Nintendo GameCube. L’échec du portage offert au dernier opus à été vu comme un tel malus que – comme bien des séries tiers-parti format – Hitman a du chanter l’angélus plutôt que d’y repointer son crâne de gugusse. Je suis certain que vous attendiez une rime en an… Us et coutumes sont le ciment de notre civilisation. Tenez-le vous pour dit. Telles sont les bases de toute société. C’est ainsi que nous retrouvons dans les salles de cinéma un an plus tard, comme le veut la tradition, notre guerrier chauve doté d’un sens certain de la dérision – et d’une belle cravate rouche – dans, attendez, petite vérification… Transporter 2: Not Another Hitman Teen Movie. Comme le titre l’indique cette seconde adaptation made in Luc Besson des créations d’IO Interactive peut se targuer d’avoir tenté de garder les fondamentaux de la série.. bien loin de ses objectifs. Car ceux-ci sont plus intéressés par l’idée de vous montrer les muscles saillants de Jason Statham dans une série épique de gags lubriques. Les hommes sont ravis. Les femmes aussi. Sans en avoir l’air, c’est clair, le fameux humoriste anglois autrefois connu pour avoir dansé huilé dans les clips nudistes de la scène électronique britannique s’en donne… à corps joie. Ainsi lubrifiée la machine Hitman pompe son produit selon un rythme annuel alternatif. Un an dans les salles. Un an sur consoles. C’est très équilibré. On se sent bien moins suscité que lors de l’exploitation de certaines séries annualisées d’une autre manière tant ses bourses ont le temps de se remettre de l’impact de chaque production. Comme une sorte d’appel du pied, bien galbé, vers un futur devenu réalité Blood Money se trouve…

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